Montre GPS Suunto : la gamme 2024 comparée (et expliquée)

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Comment présenter la gamme de montres GPS Suunto pour 2024 sans commencer par : quel chantier !

Pour tout vous dire, même si mon précédent article de présentation commençait vraiment à dater, j’ai failli repousser le travail de rédaction de celui-ci tant le paysage est flou. Théoriquement, la gamme de Suunto était bien structurée (Suunto 3, 5, 7, 9), avec des montres GPS qui gagnent en fonctionnalités avec l’augmentation du numéro. Oui mais ça, c’est la théorie, parce qu’en pratique, il faut :

• Tenir compte des versions Peak
• Ajouter une version Peak Pro
• Oublier la version 7 qui n’a jamais été renouvelée
• Faire avec les nouvelles appellations sans numéro (Vertical et Race)

Difficile d’y voir clair. Alors je suis allé consulter le site officiel de Suunto, pour voir ce que la marque y présentait. Figurez-vous que la gamme présentée (donc actuelle, parce que commercialisée) est la suivante :

• Suunto 9 Baro : une montre GPS relativement vielle pour 2024 mais à un prix défiant toute concurrence
• Suunto 9 Peak : le milieu de gamme
• Suunto 9 Peak Pro : la dernière de l’ancienne gamme et la première de la nouvelle plateforme
• Vertical : le haut de gamme
• Race : la dernière sortie par surprise

Design des montres GPS Suunto

Cinq montres et des designs bien différents.

Commençons par la plus ancienne, la Suunto 9 Baro. C’est une grosse montre GPS, surtout très épaisse (ça peut être un critère pour ne pas la choisir, soit pour du triathlon ou pour la porter au bureau avec une chemise). Une construction de baroudeuse qui comprend une vitre en saphir (inrayable) et pas si lourde que ça (compte tenu de son format).

L’avantage c’est que Suunto a pu intégrer un grand écran dans ce boitier : 35 mm et une définition de 320 x 300 pixels. Même 5 ans plus tard, ça reste une meilleure définition que la Fenix 7X (35 mm, 280 x 280 px).

On arrive ensuite aux 2 petites sœurs jumelles, la Suunto 9 Peak et la Suunto 9 Peak Pro. Visuellement, à part les combinaisons de couleurs, on ne peut pas les différencier. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elles ne ressemblent pas du tout à la Suunto 9 Baro. Beaucoup moins massives, surtout très fines. Leur design est vraiment original, stylé au possible. La lunette métallique est très effacée, quasiment pas visible de face, c’est presque plus un cerclage autour du boitier. Le fond de boitier est en métal, de même que les attaches de bracelet (elles ne casseront pas). Elles ne sont pas frêles pour autant, car elles répondent à la norme de robustesse de l’armée américaine MIL-STD-810, avec une vitre en saphir.

Les seuls reproches qu’on peut faire aux Suunto 9 Peak et Suunto 9 Peak Pro se trouvent au niveau (et autour de) l’écran. Suunto a opté pour un écran transflectif de 30 mm de diamètre avec une définition de 240 x 240 pixels. La finesse de la lunette laisse paraitre une large bande noire entre le bord de l’écran et la lunette. Bon, il faut aussi relativiser : 240 x 240, c’est le format qu’utilisent la majorité des montres GPS depuis plusieurs années (jusqu’à la Fenix 7S), toutes marques confondues. Cela dit, malgré cette taille d’écran, elles offrent les mêmes mises en page, allant jusqu’à 7 champs de donnée (+ l’heure).

Le bracelet a un système d’attache particulier, avec un ergot métallique qui vient fixer le bout du bracelet dans les trous, en remplacement des traditionnels passants. C’est bien foutu et ça rend bien.

Elles sont toutes les 2 déclinées en 1 version standard et 1 version Titanium aux fonctionnalités identiques. Je vous rappelle que le titane ne résiste pas mieux aux rayures ; le seul avantage c’est qu’il est plus léger que l’acier (une dizaine de grammes en l’occurrence).

Il y a ensuite les 2 grandes sœurs jumelles.

Suunto est revenu à un format plus grand mais pas non plus énorme, qui permet de loger un écran de 35 mm de diamètre. C’est précisément cet écran qui va distinguer la Vertical et la Race. La Vertical possède un écran transflectif avec en plus un système de recharge solaire sur la version Titanium. La Race utilise quant à elle un écran AMOLED avec une bien meilleure définition (466 x 466 pixels). Suunto a fait évoluer son interface habituelle à 3 boutons pour intégrer un bouton molette plus facile à manipuler (notamment avec des gants) sur la Race.

Elles reprennent le système de bracelet remplaçable avec l’ergot pour sécuriser le bout. L’utilisation de titane permet, là aussi, de gagner une dizaine de grammes sur le poids total et croyez-moi, on sent la différence.

Capteurs et autonomie

Du côté des capteurs, la gamme Suunto 2024 n’est pas tout à fait homogène. C’est particulièrement le cas au niveau du fonctionnement de la puce GPS.

Les montres GPS Suunto les plus anciennes utilisent une puce GPS avec le choix de modes GPS + GLONASS, GPS + Galileo ou GPS + Beidou. La Suunto 9 Peak Pro intègre une nouvelle puce GPS qui fonctionne en multi GNSS (les 4 systèmes utilisés en même temps) tout en étant capable de traiter le signal d’un plus grand nombre de satellites. Enfin, les Vertical et les Race disposent d’une puce multi GNSS double fréquence qui apportent un nouveau mode améliorant sensiblement la précision de localisation.

Telle qu’elle est construite, la gamme de montre GPS Suunto est remarquable parce qu’elles intègrent toutes un altimètre barométrique.

Au dos du boitier, on peut également trouver un profondimètre, qui sert à mesurer la profondeur jusqu’à 10 m en apnée.

Il y a 2 types de capteurs cardio optique, de 2 marques différentes : capteur cardio de Vallencell pour la Suunto 9 Baro et un nouveau capteur cardio + oxygénation sanguine de LifeQ pour les autres. La mesure de la variabilité de fréquence cardiaque n’est possible que sur les Vertical, Race et Suunto 9 Peak Pro.

Tout ça a un impact sur l’autonomie ; la taille du boitier et de l’écran aussi. Ca se voit moins au premier abord, mais la Suunto 9 Peak Pro exploite un processeur plus puissant que ces prédécesseurs. A l’utilisation, ça se traduit par une interface beaucoup plus rapide, notamment lors de l’utilisation du tactile. Mais ça va plus loin que ça. La Suunto 9 Peak Pro fait suite à la Suunto 9 Peak mais en réalité elle intègre la plateforme logicielle de la Vertical et de la Race. C’est ce qui explique qu’elle continue à recevoir les mêmes mises à jour que les 2 dernières montres GPS de Suunto, sorties en 2023.

Niveau autonomie, les comparaisons sont relativement difficiles. Ou disons qu’il faut faire attention à bien préciser certaines choses (ce que je vais évidemment faire).

Pour commencer, les dernières Suunto (Vertical et Race) n’ont plus de mode GPS seul, c’est obligatoirement un positionnement en multi GNSS, soit simple fréquence, soit double fréquence. Alors que sur les Suunto plus anciennes ou chez toutes les autres marques, c’est le mode (moins précis) GPS seul qui est utilisé pour annoncer l’autonomie de base et faire des comparatifs. Après, ils ont développé 2 modes particuliers qu’on ne trouve chez aucune autre marque :

• FusedTrack, qui relève très peu de points GPS (toutes les 60 ou 120 secondes) et utilise les autres capteurs de la montre (accéléromètre et gyroscope) pour reconstruire la trace GPS entre ces points. Ca fonctionne bien en courant, moins bien en marchant et pas du tout à vélo.
• 1 s éco, un mode dans lequel la montre GPS continue de relever une position toutes les secondes, mais qui coupe l’alimentation de la puce GPS dès que c’est fait. On conserve donc une bonne précision de trace GPS.

Avec tout ça, plusieurs montres GPS Suunto se distinguent :

• La Suunto 9 Peak Pro pour son autonomie de 70 h avec un aussi petit boitier
• La Vertical et encore plus la Vertical Solar pour l’autonomie record du marché (140 h pour la version standard et 280 h pour la version Solar Titanium)
• La Race pour son autonomie de 40 h en GNSS double fréquence (record pour une montre GPS à écran AMOLED)

Sur toutes les Suunto, le gestionnaire de batterie permet de gérer tous les réglages impactant la batterie, avec un algorithme qui calcule l’autonomie résultante. On a ainsi des modes préprogrammés ou personnalisés qu’on peut appliquer aux profils sportifs. La Race est actuellement la seule qui ne dispose pas de la possibilité de créer un profil perso, ce qui implique des contraintes dans la personnalisation des réglages pour viser une certaine autonomie (exemple : impossible d’utiliser le mode 1 s éco et d’afficher la carto). Je pense que ça évoluera dans une prochaine mise à jour.

Comparaison des prix

Suunto a depuis longtemps décliné ses montres GPS en une version standard et une version Titanium, plus chère. Vous remarquerez très rapidement d’énormes baisses de prix sur les anciens modèles. Les Suunto 9 Baro et Peak sont affichées en 2024 avec des réductions de plus de 50%. Le prix de la Race est d’emblée incroyable compte tenu de ses capacités (notamment la cartographie). Le prix de la Vertical a été temporairement réduit de 100€ lors du Black Friday mais est revenu à son niveau d’origine.

J’avoue que j’ai été surpris de la structure de la gamme 2024 de Suunto, avec la disparition des Suunto 5 Peak et Suunto 3. Mais in fine, c’est le consommateur qui est gagnant. Parce qu’avec les différentes réductions, on peut se payer une Suunto 9 Baro (avec une autonomie correcte, avec un alti baro, avec un grand écran, avec du saphir) pour moins cher qu’une Suunto 5 Peak. Et mine de rien, rien que l’idée d’une montre GPS avec vitre en saphir à 209€, c’est déjà tout bonnement imbattable !

Je pense que ça marque un retour de l’attention de Suunto sur son marché historique du trail et de la montagne. Avec cette gamme 2024, Suunto ne vend plus en entrée de gamme une petite montre GPS sans alti baro mais vend uniquement, sur toute la gamme, des montres GPS robustes (saphir) avec alti baro.

Les prix initiaux des Suunto 9 Peak et Peak Pro n’ont pas été tenus longtemps. Au fil du temps, les Black Friday et les soldes passant, les promos se sont multipliées. Le prix actuel est compétitif, face à des Forerunner 255, Instinct 2, Pacer Pro, etc.

Je pense que le prix de la Vertical est justifié. Celui de la Vertical Solar Titanium est peut-être trop cher (+200€ pour le titane et la recharge solaire). Mais bon, c’est le record d’autonomie actuel pour une montre GPS. C’est un niveau de performance qui se paie.

Quant à la Race, elle a un positionnement tarifaire hyper agressif vis-à-vis de ses capacités et de la concurrence. Suunto a fait le choix d’en faire un modèle pour reconquérir de la clientèle ; le choix inverse de Garmin qui positionne ses montres GPS à écran AMOLED plus chères que les autres. Le retour de boomerang, pour Suunto, c’est que le prix de la Race questionne le niveau de prix de la Vertical (à fonctionnalités identiques), qui a eu pour conséquence de baisser le prix des Vertical de 100€ lors du dernier Black Friday.

	Suunto Vertical Solar Titanium noire
	Suunto Race Titanium
	Suunto 9 Peak Pro titane grise
	Suunto 9 Peak titanium granite blue
	Suunto 9 Baro noire

Fonctionnalités pour le sport

Suunto propose la même centaine de profils sportifs sur toutes leurs montres GPS, y compris le triathlon. Mais ces profils sportifs ne sont pas très spécifiques (il n’y a, par exemple, pas de comptage automatique des répétitions sur le profil Musculation, ni de détection automatique des transitions en ski de rando). Pour être précis, je dois dire que la Suunto 9 Peak Pro, la Verticale et la Race intègrent 2 profils supplémentaires pour l’apnée, liés à leur profondimètre.

Toutes les Suunto sont compatibles avec des capteurs externes en Bluetooth, ceinture cardio mais aussi capteur de puissance (pour le vélo ou Stryd pour la course à pied). La Suunto 9 Peak Pro, la Vertical et la Race ajoutent en plus un algorithme de puissance au poignet, sans nécessité d’avoir un capteur externe.

La gestion des entrainements est plus ou moins facile. La partie facile, c’est la programmation des entrainements complexes (appelés Guides) depuis l’application Suunto. SuuntoPlus va plus loin, avec l’intégration d’applications partenaires ou le téléchargement d’applications sportives qui viennent ajouter des écrans ou des fonctionnalités spécifiques (pour un entrainement, un test ou une course). Il y a eu beaucoup d’évolutions ces 2 dernières années et j’ai présenté toutes les possibilités offertes par SuuntoPlus dans cet article.

Si ces 5 montres GPS Suunto ont un algorithme de charge d’entrainement et de calcul du temps de récupération, les Suunto 9 Peak Pro, Vertical et Race vont beaucoup plus loin avec l’ajout de nouveaux widgets qui transfèrent sur la montre les données de charge d’entrainement de TrainingPeaks qu’on connaissait déjà dans l’application.

Depuis 2 ans, Suunto s’est associé à Hammerhead pour compléter son offre à destination des cyclistes. C’est-à-dire que vous pouvez utiliser un Karoo 2 dont les données seront synchronisées vers l’application Suunto après chaque sortie. Et dans l’autre sens, les cartes de chaleur de Suunto sont transférées et peuvent être affichées en direct sur l’écran du Karoo 2.

Outdoor

L’outdoor, c’est l’ADN de Suunto. Le point central de l’application a toujours été l’outil de création d’itinéraire. C’est pour moi le meilleur de tous, avec :

• des cartes de chaleur pour une douzaine de sports
• des cartes 3D
• le revêtement des routes et chemins
• les points de départ les plus utilisés
• une carte des risques d’avalanche

Je vais commencer par le critère qui sera le plus différenciant : la cartographie des Suunto Vertical et Race. Elles exploitent la même cartographie, mais le rendu sera un peu différent selon qu’on la regarde sur l’écran transflectif de la Vertical ou AMOLED de la Race. L’interface est un peu différente du fait que la Race est la seule à avoir une molette, qui sert à zoomer / dézoomer.

Sur toutes les montres GPS Suunto, la navigation se fait soit en suivi d’itinéraire (tracé à l’avance), soit avec la trace ‘petit poucet’ qui affiche en pointillé le chemin déjà parcouru, soit vers des points d’intérêt, soit suivant un relèvement à la boussole.

Avec ce suivi d’itinéraire, on a bien les indications turn by turn. On peut créer ses itinéraires depuis l’appli Suunto en activant ou désactivant les alertes turn by turn, ou alors passer par Komoot avec une synchronisation des 2 comptes. Pour être franc, je trouve l’implémentation pas terrible, parce que l’alerte vient cacher entièrement l’écran pendant quelques secondes et la montre enchaine automatiquement les indications du prochain virage et de celui d’après (ce qui peut être source de confusion).

En mode suivi d’itinéraire, on a aussi un écran de profil d’altitude. Cet écran n’affiche pas les montées les unes après les autres mais sur l’ensemble de l’itinéraire.

Les Suunto 9 Peak, 9 Peak Pro, Vertical et Race ont en plus un algorithme très particulier : Snap to route. L’idée de cet algorithme, c’est de pallier les erreurs de GPS en suivant la position sur l’itinéraire plutôt que l’enregistrement de la trace GPS. En fonctionnant ainsi, la montre affichera toujours une distance parfaitement exacte, sans la moindre erreur. C’est très utile en ville et en montagne, là où il est impossible d’obtenir des traces GPS classiques propres.

Elles ont toutes un écran baromètre qui permet d’avoir une tendance météo (à l’ancienne). On peut aussi activer une alerte orage. Les Suunto 9 Peak Pro, Vertical et Race ont quant à elles un vrai widget météo, qui récupère les prévisions depuis le smartphone connecté.

L’écran présentant les heures de lever et coucher du soleil est bien présent sur toutes les montres GPS Suunto.

Montre connectée

Les montres GPS Suunto sont bien des montres connectées, mais avec une liste de fonctionnalités qui est assez succincte.

Elles reçoivent bien toutes les notifications du smartphone auquel elles sont connectées.

A côté de ça, on trouve seulement un écran de contrôle de lecteur de média. C’est un écran de commandes qui permet d’agir sur le lecteur de musique du smartphone ou une application Deezer, Spotify ou YouTube. Mais il n’y a pas de lecteur intégré à la montre.

Un widget météo permet d’avoir les prévisions sur les Suunto 9 Peak Pro, Vertical et Race.

Sur le volet de l’apparence, on n’a qu’une petite dizaine de watchfaces différentes, sur lesquelles la seule personnalisation relève du choix de couleur.

Pourquoi choisir la Suunto Vertical

Avec ou sans recharge solaire, le principal atout de la Vertical, c’est son autonomie (qui surclasse toute la concurrence pour la version Titanium avec recharge solaire). C’est le modèle le plus abouti de Suunto, avec des capteurs et fonctionnalités de dernière génération (double fréquence, VFC). La cartographie est belle, très stable, avec un grand écran pour l’afficher.

Lire mon test de la Suunto Vertical

	Suunto Vertical Solar Titanium noire
	Suunto Vertical Solar Titanium beige
	Suunto Vertical Solar Titanium canyon
	Suunto Vertical noire
	Suunto Vertical grise
	Suunto Vertical jaune

Pourquoi choisir la Suunto Race

La Race possède fondamentalement 1 ou 2 avantages par rapport à la Verticale, dont elle partage 100% des fonctionnalités. Le premier, c’est la molette, qui facilite les interactions. Le second, ce n’est pas spécialement son écran AMOLED (ça, on aime ou on aime pas ; moi, j’aime) mais plutôt son autonomie pour une montre GPS à écran AMOLED. Enfin, l’argument pour finir de vous décider, ce sera son prix, à peine croyable pour une montre GPS avec cartographie. La seule différence par rapport à la Vertical, c’est qu’elle est produite en Chine et pas en Finlande.

Lire mon test de la Suunto Race

	Suunto Race Titanium
	Suunto Race

Pourquoi choisir la Suunto 9 Peak Pro

Parmi la gamme de montres GPS Suunto de 2023, la Suunto 9 Peak Pro figure comme celle qui marque la transition vers les prochaines annonces à venir. Avec un processeur plus puissant, de nouveaux capteurs (puce GPS, profondimètre) et de nouvelles fonctionnalités (puissance au poignet, segments Strava), elle se démarque des plus anciennes. Elle continue ainsi à recevoir les mêmes mises à jour que la Vertical. C’est aussi celle qu’il faut choisir pour avoir une grosse autonomie dans un boitier aussi compact (elle fait même mieux que la PACE 3).

Lire mon test de la Suunto 9 Peak Pro

	Suunto 9 Peak Pro titane grise
	Suunto 9 Peak Pro noire
	Suunto 9 Peak Pro bleue marine
	Suunto 9 Peak Pro beige dorée

Pourquoi choisir la Suunto 9 Peak

C’est un peu le choix du compromis : ni trop vieille, ni trop chère, ni au top des dernières fonctionnalités, mais sans se distinguer par de réels atouts. Elle est plus chère que la Suunto 9 Baro et possède moins de fonctionnalités que la Suunto 9 Peak Pro. Alors OK, son design est de qualité, avec du saphir, mais je vous recommanderais plutôt la Suunto 9 Peak Pro et si vous n’avez pas le budget, la Suunto 9 Baro. Reste que si vous voulez une petite montre GPS, ce sera un meilleur choix que la Suunto 9 Baro.

Lire mon test de la Suunto 9 Peak

	Suunto 9 Peak all black
	Suunto 9 Peak titanium granite blue

Pourquoi choisir la Suunto 9 Baro

Son point fort, c’est son grand écran. C’est un peu la dernière héritière des montres GPS Suunto du passé, avant ce shift dans le design vers des boitiers plus compacts. Notez bien qu’elle a bien évolué et reçu toutes les mises à jour de sa sortie jusqu’à fin 2022, y compris les SuuntoPlus Guides. Mais la technologie a évolué depuis et elle ne dispose pas des capacités des derniers capteurs (VFC et GNSS double fréquence). De même, elle sera un peu juste en autonomie pour certains ultra. Mais si vous pratiquez simplement la course à pied ou le trail, vous pourrez bénéficier de l’énorme réduction du prix. Et aucune autre montre GPS à 200€ ne vous offrira un alti baro, une vitre en saphir et autant de possibilités de navigation.

Lire mon test de la Suunto 9 Baro

Suunto 9 Baro noire